Merci. J'ai aussi cette âme de curiosité insassiable, et votre explication m'a permis de réconcilier ce qui était un grand mystère, l'éternel débat entre généraliste et spécialiste (offre large ou de niche). Pour la première fois depuis longtemps, je ne vais pas continuer tout de suite mes lectures/recherches, mais me poser, et vraiment réfléchir à cette notion pour l'appliquer
Pauline, ton image de la boutique est brillante. Elle rend le concept de positionnement enfin “palpable” — ce qui manque cruellement dans les discours souvent trop théoriques.
Je travaille avec des solopreneuses qui ont justement cette “âme de brocante” : elles veulent tout montrer, tout dire, tout transmettre… Résultat : trop de vitrines, pas assez de cohérence.
Et pourtant, ce que leurs clientes attendent, c’est une porte d’entrée claire, pas un labyrinthe passionné.
Ce que tu dis sur la peur de renoncer et le biais du temps passé est tellement juste.
C’est souvent là que je commence mon travail avec elles : pas sur les offres, mais sur l’identité qu’elles n’osent pas clarifier de peur de “perdre des morceaux d’elles”.
Merci pour cette note riche, drôle, et tellement utile. Je vais envoyer l'exercice de la boutique à plusieurs de mes clientes, c’est sûr.
Merci. J'ai aussi cette âme de curiosité insassiable, et votre explication m'a permis de réconcilier ce qui était un grand mystère, l'éternel débat entre généraliste et spécialiste (offre large ou de niche). Pour la première fois depuis longtemps, je ne vais pas continuer tout de suite mes lectures/recherches, mais me poser, et vraiment réfléchir à cette notion pour l'appliquer
Merci Anthony !
L'analogie est très efficace. Bravo d'avoir si bien analysé ce problème ! On sent l'expertise stratégique.
Merci beaucoup !!
Pauline, ton image de la boutique est brillante. Elle rend le concept de positionnement enfin “palpable” — ce qui manque cruellement dans les discours souvent trop théoriques.
Je travaille avec des solopreneuses qui ont justement cette “âme de brocante” : elles veulent tout montrer, tout dire, tout transmettre… Résultat : trop de vitrines, pas assez de cohérence.
Et pourtant, ce que leurs clientes attendent, c’est une porte d’entrée claire, pas un labyrinthe passionné.
Ce que tu dis sur la peur de renoncer et le biais du temps passé est tellement juste.
C’est souvent là que je commence mon travail avec elles : pas sur les offres, mais sur l’identité qu’elles n’osent pas clarifier de peur de “perdre des morceaux d’elles”.
Merci pour cette note riche, drôle, et tellement utile. Je vais envoyer l'exercice de la boutique à plusieurs de mes clientes, c’est sûr.
merci beaucoup Liliane !